Progrès dans les sciences agricoles

L’équipe de notre Laboratoire de recherches sur les grains a mis au point une nouvelle méthode d’identification fondée sur l’analyse de l’ADN, qui permet de distinguer 124 variétés d’orge couramment cultivées au Canada.

Tigst Demeke (Ph. D.) et son équipe ont élaboré une procédure de laboratoire permettant aux scientifiques de détecter et quantifier jusqu’à quatre événements GM à l’aide d’une seule analyse.

Bin Xiao Fu (Ph. D.) et Kun Wang (Ph. D.) ont étudié l’incidence de la teneur en protéines et de la force du gluten du blé dur sur la fermeté et la microstructure des pâtes cuites.

Dans le cadre de l’étude la plus robuste effectuée à ce jour concernant l’ergot dans les grains canadiens, des équipes du Laboratoire de recherches sur les grains ont cerné des tendances concernant l’incidence et le degré de gravité de l’ergot dans l’Ouest canadien au cours des 25 dernières années.

Tigst Demeke (Ph. D.) et son équipe ont élaboré une procédure de laboratoire permettant aux scientifiques de détecter et quantifier jusqu’à quatre événements GM à l’aide d’une seule analyse.

Sean Walkowiak (Ph. D.) et ses coauteurs expliquent comment la génomique fonctionnelle peut révolutionner la façon dont on sélectionne les nouvelles variétés de céréales, comme le blé et l’avoine.

L’équipe du programme de Recherche sur le blé panifiable et le blé dur du Laboratoire de recherches sur les grains a étudié différentes variétés de blé dur et la taille de leurs grains pour mieux comprendre les facteurs influant sur la qualité meunière.

Une équipe de chercheurs dirigée par M. Ning Wang (Ph. D.) a élaboré une nouvelle méthode plus exacte pour mesurer la capacité d’absorption d’huile des farines, concentrés et isolats protéiques, amidon et fibres de légumineuses.

Mme Marta Izydorczyk (Ph. D.) et son équipe ont trouvé une nouvelle façon d’ajouter de la valeur à l’orge qui présente une teneur en protéines trop forte pour être considérée comme étant de qualité brassicole.

Les sélectionneurs de blé, les meuniers et les boulangers-pâtissiers ont besoin de méthodes rapides et fiables pour évaluer la qualité fonctionnelle et la qualité d’utilisation finale du blé et des farines de blé afin d’être en mesure de fabriquer les meilleurs produits possible appréciés des consommateurs de partout dans le monde, notamment du pain et des pâtes alimentaires.

Le Laboratoire de recherches sur les grains de la Commission canadienne des grains, en collaboration avec un acheteur de blé canadien du Japon, a étudié comment le processus de pétrissage affecte le comportement de la pâte et comment ces connaissances pourraient être utilisées pour améliorer la qualité du pain et d’autres produits à base de blé.

L’utilisation de variétés de blé à tige pleine est la façon la plus usuelle de prévenir les dommages causés par le cèphe du blé. Cet insecte est la cause de pertes annuelles d’environ 350 millions de dollars en Amérique du Nord.

Une équipe de chercheurs du Laboratoire de recherches sur les grains de la Commission canadienne des grains et de l’Université du Manitoba a adapté une méthode de recherche médicale afin de pouvoir analyser les composantes individuelles du gluten, facteur clé de la qualité du blé, de façon très détaillée.

En 2019, de nombreux agriculteurs n’ont pas été en mesure de récolter une bonne partie de leur canola après que des tempêtes de neige hâtives aient enseveli les cultures qui restaient au champ.

Le désoxynivalénol (DON), aussi appelé vomitoxine, est toxique pour les animaux et les humains.

La consommation d’avoine contaminée par des mycotoxines peut être dangereuse pour la santé humaine et animale.

La brûlure de l’épi causée par le Fusarium (fusariose) est une maladie qui s’attaque aux cultures de blé et diminue leur qualité ainsi que leur rendement.

Des scientifiques du Laboratoire de recherches sur les grains de la Commission canadienne des grains ont mené la première enquête pluriannuelle sur les mycotoxines dans l’avoine canadienne.